Nous profitons que c’est dimanche pour visiter la ville de Reykjavik, 122500 habitants,la capitale et la plus grande ville de l’Islande
église Kópavogskirkja dominant les quartiers neufs
Hallgrímskirkja église évangélique-luthérienne avec une tour haute de 75 m. Son architecture rappelle les orgues basaltiques présents en grand nombre en Islande. Elle a été construite de 1945 à 1986
comme pratiquement toutes les églises on ne pourra pas la visiter car elle est fermée. Elle n’est ouverte que les vendredis, samedis et dimanche de 10 h à 15 h.
la statue représente Leif Erikson, fils d’Erik le Rouge, qui aurait atteint l’Amérique autour de l’an mille
passage au Sun voyageur, le voyageur du soleil, qui représente un bateau viking partant vers les amériques
visite rapide de l’Harpa, salle de concert et palais des congrès, qui ne peut se visiter vraiment pour cause de covid. Son architecture est la représentation du Reykjavik du XXIe siècle.
à travers les vitres on aperçoit des bateaux dans le port
Ce soir nous irons au camping près du centre ville.
Cellule Loge Mobile Polycomposit, type Mangue, montée fixe sur Toyota Land Cruiser 100 derrière les sièges avant avec passage vers l'arrière
Nous quittons Reykjavik par la N 1 et empruntons la route 417 qui monte à une petite station de ski.
Nous apercevons au loin la mer et Reykjavik.
Montée à un petit volcan
Nous reprenons la 1 et la 38 pour atteindre Raufarhólshellir Cave pour visiter l’intérieur d’un tunnel de lave.
Après avoir passé un casque, nous descendons par une trouée dans un ancien tunnel de lave
par endroits la voûte s’est effondrée et on aperçoit encore le ciel.
il reste de la neige car à l’intérieur il fait 3-4 degrés toute l’année
l’intérieur est de toutes couleurs, suivant les différents minéraux qui tapissent les parois
Nous reprenons la 1 puis la 35 et arrivons au cratère du Kerið qui possède un petit lac au fond
nous continuons par la 37 pour découvrir une petite église privée construite par un fermier, Úthlíðarkirkja près de Brúarfoss
Nous continuons jusqu’à Gullfoss mais les chutes sont à l’ombre
Nous reviendrons demain pour avoir un meilleur éclairage.
Ce soir nous dormirons dans le petit camping de Geysir.
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Dans un post antérieur j'avais écrit que le prix du ferry était réellement exagéré et que pour ce prix on pouvait aller ailleurs et loin.
Ben.... vu la situation actuelle je vais sérieusement me repencher sur la question...
Et merci pour les photos et le retour
K_Anne_AK a écrit : ↑sam. 29 août 2020 08:30
Bonjour Pat,
En échange de l'Harpa, toujours aussi beau, voici l'intérieur de l'église de Reykjavik. En 2014, elle était ouverte le lundi...
La décoration intérieure est toujours très minimale dans les églises luthériennes, mais très bel orgue !
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Merci pour ce superbe compte rendu de voyage. Cela me rappelle à mes souvenirs de 2015 et 2018 en Islande.
De magnifiques photos. J'attends avec impatience la suite.
Ce matin grand beau. Nous retournons aux chutes de Gullfoss profiter du soleil et de cette belle lumière
le brouillard de la chute d’eau arrose les fleurs et crée de jolies perles qui brillent au soleil
Nous revenons à Geysir pour voir les fameux geysers qui ont donné leur nom au parc géothermique
Le Strokkur est le geyser le plus actif d'Islande. Il produit une éruption toutes les 5 à 10 minutes. Il projette de l'eau chaude dans les airs à une hauteur de 20 mètres, parfois exceptionnellement jusqu'à 40 mètres
Le jeu étant de capturer le moment où la bulle d’air se forme avant qu’elle n’éclate en un jet puissant mais irrégulier
Geysir est le geyser islandais qui a donné son nom à tous les autres. En 1630, un séisme provoqua un arrêt de l'activité du geyser qui reprit 40 ans après, si violemment que cela provoqua d'autres séismes. En 1845, il a atteint une hauteur de 170 mètres.
Geysir projetait de l'eau à 80 mètres. Entre le 17 et le 20 juin 2000, en raison d'un séisme, Geysir a atteint une hauteur de 122 mètres pendant deux jours, ce qui en fait le plus haut geyser en activité, même provisoire. Depuis ce séisme, Geysir a retrouvé une certaine activité avec huit éruptions par jour, fréquence qui a toutefois diminué à trois fois par jour depuis juillet 2003
Nous suivons la route 365 en direction de þingvellir
Nous prenons une petite piste pour aller voir une maison troglodyte qui était encore habitée il y a 100 ans : Laugarvatnhellar
Arrivée à þingvellir National Park
Il est tard, les brouettes sont au repos
Visite, extérieure seulement, de la résidence d’été du Premier Ministre islandais et de l’église attenante
des oies habitent l’endroit et nous surveillent
Je profite du beau temps qui doit changer dans la nuit pour prendre de la hauteur
et monter jusqu’à la faille
Nous redescendons jusqu’au lac pour profiter des derniers rayons du soleil avant d’aller au camping de þingvellir
La météo ne s’est pas trompée, il fait gris.
Nous nous garons au parking P2 de Þingvellir pour aller voir la cascade Öxarárfoss.
Elle coule depuis le plateau dans la faille intercontinentale
Puis nous prenons la route 361 pour monter sur le plateau et atteindre la faille
nous continuons un peu la 361 et par un petit sentier, nous arrivons tout en haut de la cascade
un pluvier doré nous fait de l’oeil et un couple mixte de moutons nous surveille
nous rejoignons le centre d’accueil. Là aussi le parking est payant, comme tous les parkings de Þingvellir et pour payer c’est la galère. Compter au moins un quart d’heure pour renseigner la foutue machine car il faut mettre tout un tas de renseignements. Tout juste s’il ne faut pas le numéro de sécurité sociale de vos parents. Heureusement qu’il y a peu de monde.
Nous montons au point de vue de Hakid qui permet d’embrasser toute la vallée et la faille intercontinentale
Jusqu’en 1967 les voitures pouvaient encore y rouler; c’était une route.
Nous allons à Borgarnes faire quelques courses et prenons la 52, une jolie piste, vers l’intérieur.
Nous rejoignons la 550 pour passer entre le mont Ok et le Þórisjökull
Depuis cet après-midi le soleil est de retour mais les nuages sont bas et nous cachent les sommets.
Nous bivouaquerons ce soir sur la 550
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Très élégant, ce pluvier !
La fin du voyage approche pour vous (et Clément), j'espère que tu finiras quand même ce récit agrémenté de si jolies photos....
Eh oui, c'est la fin du voyage.
Nous avons repris le bateau hier à Seyðisfjörður sous la pluie avec une petite surprise : notre place sur le Norröna n'était pas réservée pour le 2 septembre mais pour la semaine suivante.
Heureusement j'avais une copie de ma réservation écrite et on nous a trouvé une cabine en cinq minutes. Je suppose que le bateau n'est pas complet.
D'ailleurs il n'y a pas foule dans les couloirs, les restaurants , les bars ou sur les ponts.
C'est la fin d'un moment hors du temps, car il faut nous plonger dans la réalité et porter le masque sans cesse sur le bateau.
Fini ces moments où nous avions (presque) oublié le covid, bonjour la civilisation, adieu nature et paysages désertiques.
Je profite d'une escale à Thorshavn aux iles Féroé pour me connecter au forum.
Je continuerai mon récit dès que nous aurons rejoint le Danemark car les communications en mer son hors de prix.
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pour Víðgelmir visiter “The Cave” un autre tunnel de lave, comme “Lava Tunnel” mais plus haut, plus grand et moins bien éclairé
Arrêt à Reykolt. Au Moyen Äge, Reykholt fut un des centres intellectuels du pays, avec entre autres une des écoles les plus importantes de l’île. Il y a toujours une grande école alors que le hameau ne compte que 48 habitants au recensement de 2011. On y trouve aussi deux églises
Reykholt, “la colline des fumées” car il y a des sources très chaudes partout et on utilise cette chaleur pour chauffer des serres
À côté de la grande école l’ancienne piscine chaude
Nous quittons le village
vers l’ouest par la 518 avec des vapeurs qui s’élèvent un peu partout
Par la route 1 nous arrivons à Bifröst, petite ville moderne sans aucun intérêt dans un grand champ de lave, mais on y trouve une jolie cascade Glanni située à proximité du golf
On a aussi la possibilité de monter au cratère Grábrók. Le site est composé de trois cratères et la montée sur le plus haut a été très bien aménagée
Du sommet on a une très belle vue sur les environs
Nous poursuivons jusqu’au camping de Búðardalur.
Modifié en dernier par pat17 le jeu. 3 sept. 2020 19:10, modifié 1 fois.
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pat17 a écrit : ↑jeu. 3 sept. 2020 16:29
Clément ne dira pas la même chose car on l'a croisé tout à l'heure à la cafétéria et il se shoote aux médocs...
Vendredi 31 juillet : Stykkisholmur-péninsule du Snæfellsnes
Ce matin il pleut sur Búðardalur. Le temps ne se lève pas, nous non plus. Grand ménage et grands lavages.
Nous partons sous la pluie et le vent par la route 54 vers Stykkisholmur
Au loin sur une avancée de terre nous apercevons des taches blanches : des cygnes
En fait il y en a tout le long du fjord
Arrivée au petit port de Stykkisholmur
avec de vieux bâtiments et quelques vieilles maisons du 19 ème siècle
le port entre l’église moderne et l’hôpital qui dominent
et une presqu’île de basalte aux falaises colorées
Dommage qu’il pleuve, il aurait été sympa d’y grimper jusqu’au phare.
La vue sur le village doit être très belle par beau temps.
Nous nous réfugions au camping du golfe de Stykkisholmur.
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Stykkisholmur, j'avais bien aimé l'église et son joli vitrail dans les bleus, mais surtout, le musée de l'eau en 2014. Plus personne n'en parle, il n'existe plus ?
Courage pour la fin du voyage sur le Norrona, y compris pour Clément !
K_Anne_AK a écrit : ↑jeu. 3 sept. 2020 20:24
Stykkisholmur, j'avais bien aimé l'église et son joli vitrail dans les bleus, mais surtout, le musée de l'eau en 2014. Plus personne n'en parle, il n'existe plus ?
Courage pour la fin du voyage sur le Norrona, y compris pour Clément !
Merci ils viennent d'annoncer des vagues de 6m. J'espère qu'ils ont bien sanglé les véhicules...
Actuellement au fin fond d'une forêt un peu avant Hannover en Allemagne, je continue mon récit.
Samedi 1er août : Shark museum et street art à Hellissandur
Aujourd’hui, pas de vent mais temps gris et petite pluie toute la journée.
Par la 54 nous traversons un grand champ de lave
pour aller visiter le musée du requin à Bjarnarhöfn sur la péninsule de Snæfellsnes
C’est une petite entreprise familiale qui depuis plusieurs générations pêchait et maintenant achète des requins pour les traiter et commercialiser leur viande en tout petits cubes.
La visite se fait au milieu de matériel de pêche divers puis continue par un film sur la façon de conserver la viande des requins.
Les requins utilisés s’appellent des requins du Groenland. Ce sont les plus grands de la famille des Somniosidés. C’est le plus gros requin du monde avec une taille maximale de 7 m et un poids de 1200 kg. Son espérance de vie est d’au moins 272 ans.
La chasse aux requins a commencé en Islande au XIVe siècle. Les islandais utilisaient le foie du requin pour en extraire l’huile pour les lampes à huile. L’huile de requin était de meilleure qualité que l’huile de foie de baleine. Elle brûle plus lentement et laisse moins de sel dans la lampe. Elle était surtout vendue à des personnes riches d’Europe.
L’huile de foie de requin a été l’une des plus grandes exportations de l’Islande pendant 600 ans.
Lorsque l’électricité est arrivée, l’huile de requin a progressivement perdu de sa popularité jusqu’à ce que la chasse au requin s’arrête définitivement en 1950. Depuis cette date les producteurs de requins comptent uniquement sur les captures accidentelles.
Ici à Bjarnarhöfn, ils les achètent au port de Reykjavik puis ils les amènent avec une remorque ou un camion.
Du XIV au XVIe siècle, la viande de requin n’était pas consommée à cause de sa toxicité. Les islandais avaient l’habitude de tout jeter en l’enterrant sous terre.
Autour du XVIe siècle, les islandais ont compris comment faire fermenter le requin, mais il y a un manque de documentation concernant l’évènement précis. Depuis lors, la viande a commencé à être consommée comme digestif ou complément alimentaire.
Jusqu’au siècle dernier, la viande a été fermentée en l’enterrant sous les rochers de la plage pendant des mois,alors que maintenant ils utilisent des caisses en bois. La réaction chimique est la même mais la méthode est plus simple.
Le processus
Le requin du Groenland est également le requin le plus toxique de tous : s’il est consommé frais, il peut être mortel pour l’homme.
Ceci est dû au contenu élevé d’urée et d’oxyde de triméthylamine dans l’organisme, qui permet au requin de survivre dans les eaux salées (en créant un équilibre osmotique) et de servir d’antigel naturel en stabilisant les enzymes et les protéines des tissus du requin du Groenland. Lorsque le requin rencontre des conditions extrêmement profondes et froides, cela empêche la formation de cristaux de glace qui perturberaient les parois cellulaires et provoqueraient l’explosion des cellules, entraînant des dommages aux tissus et aux organes, puis la mort.
Fermentation
Pour se débarrasser des toxines, ils mettent la viande dans les boîtes en bois et ils les laissent dans une salle de stockage pendant 6 à 9 semaines. Pendant le froid hivernal, la viande fermente; l’urine et l’antigel se transforment en ammoniaque, grâce à certaines bactéries responsables de la fermentation.
Séchage
Après la fermentation la viande est mise à sécher à l’air libre pendant 3 à 4 mois, pendant lesquels l’ammoniaque s’évapore, laissant une croûte orange / brune autour de la viande.
Néanmoins, l’ammoniac ne s’évapore pas complètement, laissant une odeur intense célèbre et un arrière-goût que certaines personnes comparent à un fromage fort.
La fermentation ne peut se faire que l’hiver, mais le séchage toute l’année.
Un peu plus loin d’ailleurs à l’extérieur on aperçoit le séchoir avec des morceaux de viande qui sèchent entourés d’une certaine odeur rappelant celle d’un urinoir mal lavé
Après la visite et les explications, les volontaires ont droit à une dégustation. En fait ce n’est pas très fort, comparable en effet à un fromage très fort, l’odeur d’urine n’étant pas présente dans la viande.
On pouvait aussi en acheter, mais ça ne nous a pas suffisamment convaincu.
Il y avait aussi de très belles mâchoires de requins
Nous reprenons la 54
et arrivons aux cascades de Kirkjufell, hélas les nuages sont bas et cachent le sommet
La pluie nous pousse jusqu’à Ólafsvík avec sa jolie église moderne
et son port où des enfants sautent depuis des bateaux de plaisance dans l’eau froide du port, sous l’oeil complice de leurs parents
Nous nous promenons dans le port désert de Rif, seulement habité par une myriade d’oiseaux
On voit tellement d’oiseaux qu’il y a sur le bord de la route, un panneau demandant aux automobilistes de rouler à 30 km/h
mais malgré cela on peut voir beaucoup d’oiseaux écrasés ou percutés.
Un peu en dehors de la route, perdue au milieu des lupins hélas défleuris, la petite église de Ingjaldshólskirkja
Nous finirons au camping d’Hellissandur, près d’un petit musée maritime
après avoir fait le tour d’entrepôts repeints par des artistes de street art
et une sculpture évoquant à la fois un bateau viking et un oiseau, selon comment on le regarde
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Très intéressant, tes explications sur le requin faisandé, mais ça ne donne vraiment pas envie d'essayer !
Par contre, si tu ne participes pas au concours photo du mois avec une de tes superbes vues de street art, je serai très mécontente ! Même en étant d'accord pour reconnaître que ça va être difficile de n'en choisir qu'une !
Bon retour chez vous, à très vite pour la suite du récit, après avoir vidé la cellule ?
Oui c'est présenté sous forme de cube à l'apéro avec un coup d'aquavit ...
moi j'aime bien et me rappelle en avoir gouté chez un préparateur, puis acheté pour la suite du voyage.. c'est très énergétique.... mais après on croque une gousse d'ail cru..pour avoir un semblant de bonne haleine
Fifitoy Mauvais Génie
TemboPhase II-Year in Africahttp://www.tembo-trip.com Y’a une route tu la prends.qu’est ce que ça coûte
Encore du temps gris et beaucoup de vent.
Nous quittons Hellissandur et partons déjeuner à Ólafsvík d’un super hamburger à la station N1, cela aura été le meilleur de toutes les vacances
Nous reprenons la 574 pour aller à Skarðsvík Beach battue par le vent du nord avec de grosses vagues
Nous poursuivons par la 573 en traversant un champ de lave avec de belles fissures bien ouvertes et profondes qui crèvent le sol près de la piste
Le phare d’Öndverðarnes apparait au bout de la piste derrière un petit mur de pierres de lave
On découvre un vieux puits en pierre dans une anfractuosité du terrain
On disait jadis qu’il donnait de l’eau fraîche, de l’eau bénite et de la bière !
Près du phare, les falaises de Svörtuloft (Saxhólsbjarg cliff) permettent d’observer de nombreux oiseaux
surtout des mouettes tridactyles
ainsi que des guillemots
et quelques rares macareux en retard pour leur migration
Par la 574 et la 572 nous arrivons à Djúpalónssandur
On y trouve encore des débris de bateaux qui y ont fait naufrage
il faut dire qu’il ne doit pas faire bon de vouloir accoster par mauvaise mer avec tous ces rochers menaçants
Sur la plage on trouve aussi des pierres de levage qui servaient à tester la force des marins qui voulaient s’enrôler sur les bateaux
Nous allons au phare de Malarrif qui fait penser à une fusée
pour approcher les deux aiguilles volcaniques de Londrangar
avec encore des falaises et des oiseaux
Depuis ce matin il était caché par les nuages et en fin de journée le Snaefellsjökull se découvre
Ce soir arrêt au camping d’Arnastrapi
Le parcours du jour :
Modifié en dernier par pat17 le jeu. 24 sept. 2020 19:26, modifié 1 fois.
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