C'est un arrondi supérieur de 4655 mètres !
C'est tout de même trompeur pour qui ne connait pas la Pamir Highway ....l'ensemble de cette route est tout de même bien plus bas et les plateaux du Pamir sont aux environs de 3500-4000 m.
Nous on a arrondi en-dessous :-)))Ralebodeco a écrit : ↑sam. 5 déc. 2020 22:57C'est tout de même trompeur pour qui ne connait pas la Pamir Highway ....l'ensemble de cette route est tout de même bien plus bas et les plateaux du Pamir sont aux environs de 3500-4000 m.
4655m étant le passage du col le plus haut.
T'aurais pu fermer le toit , on voit pas les montagnes derrière
oc07 a écrit : ↑dim. 6 déc. 2020 10:14 Et au Pamir il est facile de perdre quelques dizaines de cm d'altitude...
...mais en ouvrant le toit on en regagne...c'est malin.
Comment vous êtes-vous sortis vous de cette situation très mal engagée ? J'aime bien me planter dans le sable chaud... mais dans la boue, ça me stresse rien que d'y penser!! (Souvenir d'un ami planté dans une sekra en Mauritanie).
Merci pour le partage de ton compte-rendu.
... Quand à moi, je vous laisse une photo de mon mon Altimètre, au sommet du col.oc07 a écrit : ↑dim. 6 déc. 2020 10:09Nous on a arrondi en-dessous :-)))Ralebodeco a écrit : ↑sam. 5 déc. 2020 22:57C'est tout de même trompeur pour qui ne connait pas la Pamir Highway ....l'ensemble de cette route est tout de même bien plus bas et les plateaux du Pamir sont aux environs de 3500-4000 m.
4655m étant le passage du col le plus haut.
elle vaut presque la route forestière de la Givrine ...
Bonjour Bernard
Une réponse en photo, puis quelques détails :Antouka a écrit : ↑dim. 6 déc. 2020 12:20
Comment vous êtes-vous sortis vous de cette situation très mal engagée ? J'aime bien me planter dans le sable chaud... mais dans la boue, ça me stresse rien que d'y penser!! (Souvenir d'un ami planté dans une sekra en Mauritanie).
Merci pour le partage de ton compte-rendu.
Le sable ou la neige, je connais un peu, mais la boue pas du tout (ben oui, en Ardèche :-))), et j'ai beaucoup appris durant ce voyage. Par exemple que les plaques... à sable, dans la boue ça s'enfonce et disparait et que c'est d'un secours très relatif (lors d'un autre plantage au Kirghistan, en traversant un petit ruisseau de rien du tout, j'ai bien cru que je ne retrouverais pas la plaque). Ou qu'il ne faut pas reprendre ses traces.Antouka a écrit : ↑lun. 7 déc. 2020 15:33 A te lire on se rend compte qu'il n'est jamais simple de se sortir d'un bourbier, les plaques sont inopérantes, les crics s'enfoncent... et on a pas souvent des Pamiris pour donner un bon coup de main!!!
En Mauritanie, il nous a fallu 2 véhicules et de longues cordes pour sortir un troisième enfoncé dans la sebkra. Avantages par rapport à toi: nous étions au niveau de la mer et non à 4 000 mètres, il faisait 35° et non zéro.
le pire en cas de plantage c'est la tourbière , impossible de se servir d'une pelle pour glisser des plaques sous les roues, elle ne rentre pas , il faut une pioche.
C'est vrai que les coups d'adrénaline sont un des sels de nos virées... mais surtout après coup ! Parfois, comme quand on casse une lame maîtresse au milieu de montagnes mongoles, on sent comme un grand coup de fatigue sur la tête. Ensuite, le plaisir de se battre, de chercher des solutions, de s'en sortir...
Bonjouroc07 a écrit : ↑mer. 9 déc. 2020 10:44C'est vrai que les coups d'adrénaline sont un des sels de nos virées... mais surtout après coup ! Parfois, comme quand on casse une lame maîtresse au milieu de montagnes mongoles, on sent comme un grand coup de fatigue sur la tête. Ensuite, le plaisir de se battre, de chercher des solutions, de s'en sortir...
Tiens, pour positiver, on pourrait dire que le corona nous a évité plein de plantages et de situations scabreuses... Heu... non, j'arrive pas à positiver... Heureusement il reste le bandeau !