Encore un peu de plage le lendemain, mais en Mauritanie cette fois-ci.
Ce cétacé a été dispersé façon puzzle et nous retrouvons l'épave du concours photo de mars.
A Nouakchott, une façon intéressante de faire ses courses de boucherie et pas besoin de caddy pour rapporter la viande à la maison...
Ca sent la fin du voyage, nous sommes déjà à Dakhla où les kite surfeurs s'en donnent à cœur joie. Un dernier repas tous ensemble. Un petit cérémonial sympathique décerne quelques trophées à certains membres du groupe. Sans suprise nous héritons du "prix de la panne mécanique" car nous avons tout de même réussi l'exploit d'être en panne durant les 2/3 du trajet
Remontée du Maroc sans grande originalité jusqu'à Tanger et le ferry qui nous ramène à la maison.
Après la remise à neuf du circuit de gas-oil et des injecteurs, nous envisageons de repartir l'année suivante pour un circuit différent qui retourne en Guinée, histoire d'en profiter l'esprit plus tranquille. Ebola s'invitera dans le programme qui sera révisé pour un périple jusqu'au Burkina Faso dont nous avons vu de magnifiques photos, peut-être celles de votre voyage, Anne. Mais là, ce sont des problèmes politiques dans le pays qui mettront un terme à ce projet. Jamais 2 sans 3, pas de joker Mauritanie, la France vient de mettre le pays en zone rouge suite aux attentats de Charlie Hebdo. Que faire ? Nous sommes prêts à partir, nous n'aurons pas d'autre possibilité de congés avant un an. Quelques jours de réflexions et nous décidons de partir seuls en Mauritanie dont le bref passage l'année précédente nous a donné un goût de reviens-y. Ce sera alors le début d'un gros coup de cœur pour ce pays, mais ceci est une autre histoire...
Merci de m'avoir suivie, bon dimanche et belles aventures à tous.
Annick