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. En effet, il y a une centaine d'années un Suisse installé dans la région a appris aux habitants à fabriquer ce fromage. 
Vous avez certainement moins de problèmes pour faire demi-tour avec le Toy. Ne sachant pas à quoi nous attendre, nous avons préféré aller à piedAh ah ah, comme nous sommes très paresseux, nous avions fait ces 2 km en Toy !
Comme je le disais plus haut ce compte rendu n'est que le reflet de ce que nous avons ressenti, parfois un simple constat de ce que nous avons trouvé et il n'y a effectivement rien de mieux que d'aller se rendre compte sur place. Nous n'avons pas forcément tous les mêmes attentes.Merci pour ce CR qui donne malgré l'avancée du "progrès " l'envie d'aller y voir.
Pour nous touriste, on regrette toujours ces changements, mais pour les locaux, avoir accès à l'électricité, des logements en bon état, le goudron pour accéder a l'école et au commerce de sa production, l'eau courante, du travail pour les enfants... c'est aussi un progrès important.
Nous les avons en France. On doit accepter qu'ils y aspirent aussi.
. Nous voyons bien sa trace toute fraîche et nous comprenons le pourquoi de son regard amusé. Comme nous n'avons pas envie de rebrousser chemin, il n'y a pas 36 solutions : soit on attend la déneigeuse soit on trouve une alternative. Les environs sont terriblement spongieux, on ne va pas s'y aventurer. La seule solution c'est de passer par le pierrier. Après une grosse 1/2 heure à déplacer les cailloux les plus méchants nous trouvons un cheminement qui nous permet de retrouver la piste un peu plus haut.
Merci c'est très gentilÇa fait plaisir de voir un si bon compte rendu d’un beau voyage
Petit farceur va, tu m'as déjà fait le coup pour la MauritanieCes grands espaces montagneux, ces petits villages paisibles, ces habitants chaleureux, un régal ! Ça donne envie d´y être...
Je ne m´en souvenais pas !ivecogitation a écrit : jeu. 24 juil. 2025 15:59 @oc07 :Petit farceur va, tu m'as déjà fait le coup pour la Mauritanie :langue2:Ces grands espaces montagneux, ces petits villages paisibles, ces habitants chaleureux, un régal ! Ça donne envie d´y être... :-)
Mais non ! On appelle ça du comique de répétitionJe ne m´en souvenais pas !
C´est pas beau de vieillir...
. Nous voilà embarqués dans les rues de la ville pour essayer de récupérer l'itinéraire. C'est étroit et il y a une circulation de folie. Enfin, on s'extirpe de là et on suit le cheminement pour arriver au camping. C'est interminable ! On monte de plus en plus, c'est une petite piste en lacets, on se demande si on va arriver au bout. 
... En dehors des villes où se dressent des immeubles neufs tous sur le même modèle et pas encore habités on trouve quelques poches de résistance, quelques paysans regroupés dans un hameau en train de faire leur foin ou de cultiver leurs parcelles. 
On va couper vers Kozan en passant par de petites routes. Ici la terre est beaucoup moins riche, on quitte les vastes étendues céréalières pour de plus petites parcelles dues aussi au relief accidenté. La température est remontée à 12°5, le vent est toujours aussi glacial, c'est l'été !
Il est doté d'abris en planches et en toile où les vacanciers aménagent de petits coins cosy. Pas prévu du tout pour des camping-cars. Donc pas d'emplacement pour nous, on nous met dans le coin débarras, là où s'entassent les planches des cabanons démontés, les tôles et autres matériaux divers et variés. Pour les sanitaires, c'est, comment dire, rudimentaire, on décline gentiment la proposition de branchement électrique. C'est jonché de déchets qui n'ont pas été ramassés depuis longtemps mais ça n'affole pas le propriétaire qui encaisse le prix de la nuit - dérisoire- et retourne s'assoir pour fumer avec ses potes. Bon. On est posé. Pas de possibilité de bivouac autour de toute façon et on a de l'ombre. Un petit tour rapide à la plage. C'est pas mal ce gros tuyau qui recrache des tas de trucs dans la mer... Pas de baignade donc... Derrière la pointe à gauche, c'est la Syrie.
Nous avons mis 1h30 pour parcourir 25 km entre des blocs de béton entrecoupés d'usines gigantesques, dans une circulation infernale... Au secours !!!
Wouhaou !le pied (après Tarse, c'est un peu normal)
Bon, c'est bien y en a qui suivent !
Bonjour Anne, eh bien imagine l'ambiance chez vous et tu auras la même chez nous, ce qui ajoute encore un peu plus de charme au voyage s'il en était besoin. On s'est quand même tapé 3 jours à 10 heures de camion dans la journée parce qu'on ne trouvait nulle part où s'arrêter. Et non, nous n'avons pas frôlé la zone du séisme, nous avons le souvenir en 2024 d'avoir traversé le Tizi'n test au Maroc, justement dans la zone où le séisme avait fait le plus de dégâts, on n'avait pas réalisé que c'était là, on n'était pas en France quand ça s'est produit. On a réalisé en voyant les premières tentes de réfugiés et les villages totalement détruits. Un souvenir qui nous a terriblement marqués.Je suis égoïstement contente que ces mésaventures et déceptions vous arrive à vous et pas à nous, parce que je n'ose imaginer l'ambiance en ce qui nous concernerait !
