Casa Trotter

J'aurais bien aimé avoir de la nostalgie, mais je n'ai que la jalousie!
Merci pour le partage et ce magnifique reportage.
T'es subventionné par l'office du tourisme local!!!!

Je crois qu'on s'est croisés hier sur la route de Sudavik...

Oui en effet mais je ne t'ai vu que tardivement et je n'ai pas eu le temps de te saluer ou faire un appel de phares.
À une autre fois peut-être...

Je reprends le cours du récit car depuis presqu'une semaine je n'ai pu continuer n'ayant pas assez de réseau; pas de 4G ni même de 3G et pas de wifi avec un débit suffisant dans les rares campings rencontrés dans les fjords du nord ouest de l'ile.

vendredi 17 juillet

Nous quittons le camping de Skaftafell



et suivons la N1.
Nous passons devant la carcasse d’un ancien pont qui a été englouti par une inondation en 1996 suite à une éruption dans le Vatnajökull au nord de Grimsvötn. L’énorme crue glaciaire qui en surgit coupa la route qui traverse les sables de Skeiðarársandur. La crue enfla rapidement, atteignant son apogée au bout de 15 heures, puis se résorba presque totalement en 48 heures. On s’attendait au début à ce que le débit maximal fût de l’ordre de 20.000 m3/s, mais il atteignit 50.000 m3/s. La force gigantesque du flot emporta d’énormes blocs de glace qui causèrent beaucoup de dégâts à la voirie. Le pont de 376 m de long sur la rivière Gigjukvisl disparu complètement. Le pont de la Skeiðará subit des dommages importants. Son extrémité disparut dans la rivière sur une longueur de 176 m, de même qu’un pilier intermédiaire de l’extrémité ouest. La route fut coupée à l’ouest du pont, les digues de maintien des eaux dans leur lit furent presqu’entièrement détruites et la rampe de terre de 12 m du côté ouest disparut. En revanche le pont sur la Sula resta indemne. On a évalué que des blocs de glace qui arrivèrent jusqu’à l’emplacement du pont sur la Gigjukvisl ont du peser jusqu’à 2.000 tonnes et que ceux qui parvinrent jusqu’au pont sur la Skeiðará ont du être de 100 à 200 tonnes.



des chevaux en liberté



un champ de lave



arrêt pour voir des colonnes basaltiques à Dverghamrar avec en arrière plan la cascade Foss a Siou





d’autres colonnes basaltiques mais qui sont totalement enterrées et dont on ne voit que le dessus, qui font penser au sol carrelé d’une église, Kirkjugolf à Kirkjubaejarklaustur





nous longeons un autre champ de lave



pour atteindre un très ancien canyon de l’age glacière, le Fjaðrárgljúfur












traversée d’un autre champ de lave





champ de cairns à Laufskálavarða



avant d’arriver à Vik nous prenons la F214







pour atteindre le charmant petit camping de Pakgil où nous allons passer la nuit

samedi 18 juillet

Hier soir sur le camping près de notre cellule, des jeunes islandais ont joué au foot et aux quilles jusqu’à 04 h du matin en riant. Ce matin ils sont plus calmes.
Nous redescendons la F214 jusqu’à Vik







Reprenons la N1 puis la 215 pour arriver à la plage noire de Reynisfjara avec ses vagues traitresses à marée haute









et sa grotte Hálsanefshellir aux formes si particulières.





au loin le cap Dyrhólaey et son arche



Par la 218 nous atteignons ce cap qui nous donne une belle vue sur Kirkjufjara beach



et les pitons rocheux de Reynisdrangar déjà vus depuis Vik





un chemin nous mène à un promontoire d’où l’on voit les arches de Dyrhólaey





un peu plus loin on accède au phare de Dyrhólaey



les arches



et ses falaises surplombant la grande plage ouest



Un peu plus loin en nous arrêtant sur le bord de la N1 au carrefour avec la 222, rencontre furtive avec un renard polaire qui s’enfuit avec une proie, un oiseau sans doute





Il est trop tard pour aller marcher jusqu’à l’épave de l’avion et nous allons au camping de Skógafoss.

Merci pour toutes ces photos, particulièrement le renard gourmand !
Beaucoup de monde sur la si belle plage noire de Reynisfjara. Je croyais que l'accès en était interdit depuis quelques accidents de vagues ?

Vous semblez avoir beau temps ! Pas trop de vent ?

Bonjour Patrice,
Bravo et merci à toi et/ou Anne Marie pour ces belles photos malgré un ciel parfois couvert, souvenirs, souvenirs!
Espérons que les jours prochains vous retrouviez le beau temps et le soleil comme nous en 2012
a+
Babette et Jean-Noel

Pas beaucoup de soleil bien que tous les jours il y a du soleil en Islande. Le tout c'est de savoir où et combien de temps.
Sur une semaine dans les fjords du nord ouest, beaucoup de très très très grand vent, le Mistral à côté c'est de la gnognote, et souvent de la pluie.
Aujourd'hui nous sommes dans le nord après Arukeyri et je crois que le soleil est pour demain.
Pourvu que ça dourre...

dimanche 19 juillet

Aujourd’hui beau temps.
En route pour la randonnée de Skogafoss.
La cascade est juste au bout du camping et du parking visiteurs mais le but c’est de monter voir les autres cascades. Cependant nous n’irons pas faire la grande rando qui dure 2 à 3 jours avec étapes dans les refuges



Au fur à mesure que nous montons nous commençons à apercevoir le haut de la cascade





en haut une passerelle permet même d’être au dessus



puis en continuant on passe devant d’autres cascades moins majestueuses mais très belles quand même









la montée continue nous montrant de nouveaux paysages









une petite cascade presque cachée derrière un gros rocher



et je m’arrête à cette dernière



je voulais aller jusqu’au pont qui enjambe la rivière, mais il y a encore quelques kilomètres et le temps fraichit et les premières gouttes arrivent.
En fait ce sera une fausse alerte, le temps d’enfiler l’anorak qui était dans le sac à dos, la pluie s’arrête, trois fois de suite.
Nous reprenons la route N1





et nous faisons halte à Bra Fence voir la collection de soutiens gorge accrochés à la cloture d’une ferme





nous croisons tout un groupe de chevaux qui rentrent au bercail



et arrivons à Seljalandsfoss et Gljúfrabúi



Gljúfrabúi se trouve juste tout près du camping où nous nous sommes arrêtés



il faut se faire mouiller pour voir l’intérieur mais ça en vaut la peine



puis nous marchons jusqu’à Seljalandsfoss







par un petit chemin on peut passer derrière la chute





et admirons cette cascade de toute beauté au soleil du soir

Wahou!!! Merci de prendre de votre temps pour partager ces belles images avec nous. Cela nous permet de voyager un peu. Bonne continuation.

Lundi 20 juillet

Nous quittons Seljalandfoss et suivons la route F249. Un peu à l’écart de la route, nous trouvons cette charmante petite église moderne dans un hameau, la StóraDalsKirkja.



Nous allons suivre cette piste 249 jusqu’à Þórsmörk. Pour cela il faut remonter la rivière Krossa et passer quelques gués plus ou moins profonds. Comme toutes les pistes F, elle est interdite aux véhicules qui ne sont pas 4x4.





Certains véhicules islandais sont particulièrement préparés pour ce genre de piste avec de très gros pneus et même un système pour les gonfler et dégonfler sans s’arrêter, tout en roulant.





Un peu avant d’arriver sur Þórsmörk, je m’arrète pour aller voir le canyon Stakkholtsgjá







puis reprends la piste 249



et c’est l’arrivée à Þórsmörk



Ce sera la fin du parcours pour moi, demi tour et retour vers la civilisation



passage devant un des glaciers de l’Eyjafjallajökull





un peu avant la N1, toujours sur la partie goudronnée de la 249



Puis arrêt pour quelques courses à Hvolsvöllur.
Nous voulions aller voir l’expo au Lava Center, mais il a des horaires de fonctionnaires en pré-retraite, 10 h à 16 h ! Super pour les touristes et les vacanciers…
Nous reviendrons le lendemain et trouverons une nouvelle fois portes closes, malgré le parking bien rempli :
fermé lundi et mardi !!!

Bonjour Pat 17,

Nous suivons avec plaisir et attention ton voyage islandais qui nous fait revivre les nôtres. Tu sembles bénéficier d'un temps clément...ou bien tu prends les photos uniquement entre deux averses ?
Comment cela se passe pour les bivouacs: dans la nature ou dans les campings ? En 2017 nous avions eu plus de difficultés à faire du camping sauvage qu'en 2014 ... nous nous sommes d'ailleurs fait virer à deux reprises d'emplacements qui n'avaient pas posé de problèmes la première fois, d'autres étaient devenus interdits.

Merci de continuer ton reportage, nous te suivons de près.

Bonjour Antouka
Le temps n'est pas très clément et il nous arrive aussi de faire des photos quelques fois pendant les averses.
Nous avons eu trop de mauvais temps à mon goût mais ces jours là on fait peu de photos voir pas du tout.
Peut être ces jours là ne sont pas encore en ligne car j'ai du mal à trouver le temps pour le faire.

En ce qui concerne les bivouacs, on en fait très peu car on préfère de temps en temps les commodités des campings,mais on fait de temps en temps quand on est dans des coins désolés ou loin d'un camping. C'est vrai que c'est plus difficile de se cacher en Islande que dans les autres pays.

Par contre cela fait deux fois qu'on se fait refuser l'entrée d'un camping. Une première fois le 14/8 à Húsavík et le lendemain le 15/8 à Ásbyrgi. La première fois à Húsavík il était 22 h et il y avait beaucoup de monde, mais à Ásbyrgi il n'était que 19 h 30 et il y avait pas beaucoup de monde. La ranger m'a dit avec un masque "the camping is full", je lui ai répondu "the camping is fool or full?" Je n'ai pas eu l'impression que ça l'ai fait sourire.
Je me demande si j'avais eu des plaques islandaises, si j'aurais aussi été refoulé.

Merci de nous suivre.

Mardi 21 juillet

Hier soir nous étions au camping de Hella, ce matin nous faisons quelques courses à Hvolsvöllur et nous partons vers l’est par la route 261 qui devient rapidement une route en gravier mais accessible à tous les véhicules.
Sur notre droite nous repassons devant le Gígjökull qui est une langue glacière qui descent de l’Eyjafjallajökull, célèbre pour son éruption qui a commencé en mars 2010, causant l'arrêt des transports aériens dans toute une partie de l'Europe pendant plus d'une semaine à cause des nuages de cendres; éruption qui a pris fin officiellement en octobre 2010



et passons devant une jolie cascade à plusieurs niveaux



un courlis corlieu peu farouche nous observe sur le bord de la route



bientôt la route 261 se dégrade et devient une piste pour 4x4, la F261.
le paysage se transforme, nous quittons les prairies pour pénétrer dans un monde minéral







pas grand monde sur la piste et juste quelques très rares constructions isolées







nous contournons le Tindfjallajokull et le Einhyrningur







et rejoignons la F210 afin de prendre la F233 vers le Landmannalaugar



une petite bergerie de montagne





le paysage est magnifique et pour nous (presque) tout seuls

















nous allons bivouaquer à l’embranchement de la F210 et la F233.
On nous a dit que la F233 était fermée et il est déjà plus de 22 h, il est temps de s’arrêter. Nous verrons demain si c’est vrai.

Bonjour Pat, merci de poursuivre le récit de votre visite de l'Islande. Tes photos sont toujours aussi belles !
Lorsque vous êtes rejetés d'un camping, vous bivouaquez ? Pas forcément aisé lorsqu'on est dans le parc d'Asbyrgi.
Les conditions sanitaires durcissent en Islande, ça risque de vous arriver encore...

Bonjour K_Anne_AK
Dans le premier cas à Husavik nous avons bivouaqué à 2 km dans une carrière, pour Asbyrgi nous avons changé nos plans et poussé plus loin d'une vingtaine de kilomètres vers le nord.

Mercredi 22 juillet 2020

Ce matin, c’est très relatif car il est 11h30 il fait gris. Une voiture de Néerlandais est passée il y a une heure devant nous et a pris la piste 233. Comme ils ne sont pas revenus, c’est que ça passe. Donc on y va. Mais il nous faudra quand même plus d’une heure et demie pour arriver au croisement avec la 208.
Cette 233 était indiquée fermée sur le site islandais et je comprends un peu pourquoi, c’est qu’elle est en très mauvais état. Mais en prenant le temps ça passe.
Nous avons traversé de super beaux paysages avec de jeunes mousses vert fluo qui illuminent le creux des fonds de vallées









Nous poursuivons la F208 en direction du camp du Landmannalaugar



















puis nous arrivons au camp







il y a une source chaude où les gens viennent se baigner









pour mon compte, je préfère faire une ballade à travers le champ de lave qui domine le camp







j’assiste à l’arrivée d’une horde de chevaux qui rentrent de promenade



le champ de lave cache de nombreux trésors









les montagnes sont de toutes couleurs





de nombreuses fumerolles montent et trahissent des sources brulantes













je continue ma progression à travers le champ de lave mais le sentier qui était très large se rétrécit mais offre toujours de très belles vues





j’ai rejoint le fond de la rivière qui va me ramener au camp





où je vais retrouver nos montures





admirez celles des services de secours



certains préfèrent souper dehors sur une crête pour profiter du paysage



en ce qui nous concerne, comme la météo annonce du mauvais temps avec de la pluie pour les jours prochains, je préfère quitter le camp car je ne souhaite pas tester les pistes sous une forte pluie
nous continuons la 208 vers le nord



et allons bivouaquer en chemin

Jeudi 23 juillet

Hier nous avons bivouaqué près du lac Sultartangalón à proximité de la route 26, une quinzaine de kilomètres après le croisement avec la F208.
Aujourd’hui le temps est gris et pluvieux par moments.
Nous allons voir les cascades d’Haifoss et Granni. Le site est grandiose mais pour y arriver il a fallut se taper pas mal de trous dans la piste 332.









Arrivés sous la pluie nous déjeunerons sur place dans l’attente d’une meilleure météo.
Puis nous prenons la piste 327 pour rejoindre le canyon de Gjáin



Les paysages de la 327 sont beaux sous le soleil du soir



Juste après la jonction avec la route 32, un peu en dehors de la route, petit arrêt à Hjálparfoss



Ce soir camping entre la 325 et la 32.
Ce fut une journée avec peu de soleil, peu d’images et peu de kilomètres.

Pat, tes photos rendent vraiment bien la fascination que l'Islande peut exercer ! Ce pays de lave et de glace est une exposition à ciel ouvert de phénonèmes volcaniques en tous genres !

Vous semblez ne pas être trop dérangés par la foule, même à Landmannalaugar. Où les distances ne sont pas trop respectées dans l'eau chaude !

Comme c'est la première fois que je viens je ne sais pas comment c'est les autres années, mais il semble qu'il n'y a pas grand monde, notamment pas de grands cars sur les parkings, pas de japonais ou chinois, quelques italiens en minibus et des français et des espagnols en solo.
C'est très agréable, sauf les problèmes de rejets dans certains campings ou les gens qui nous évitent dans les supérettes.

vendredi 24 juillet

Ce matin temps gris. Passage à Selfoss pour faire des courses.
Dans l'après-midi le soleil arrive et il fait beau.
Essayé de voir le tunnel de lave Lava Tunnel de Raufarhólshellir mais ça ferme à 17 h.
Nous allons à Þorlákshöfn et parmi les maisons nous découvrons cette jolie maisonnette verte avec sa belle Buick 1958.







Nous découvrons aussi une curieuse église avec un bateau stylisé devant



et des chevaux qui viennent à notre rencontre





La ville de Þorlákshöfn est spécialisée dans la fabrication de cette pièce de béton que l’on utilise pour renforcer les digues contre l’action de la mer





avez-vous vu le drakkar en métal sur la digue, le voila de plus près



et un peu plus loin, près du phare ce bateau de pêche



sur la route de Grindavik une autre église de marins mais plus ancienne, Strandarkirkja



quelques mouettes accrochées à une falaise





un paysage sculpté par le vent



un peu avant Grindavik, un paysage désolé digne d'un western



le port de Grindavik





et bivouac près du phare de Hópsnes dans une zone de rochers volcaniques où dorment encore quelques épaves rouillées

Samedi 25 juillet

Nous quittons la zone de rochers volcaniques qui entourent le phare de Hópsnes à Grindavik.
Malgré ce terrain rude, cela n’empêche pas les petites fleurs de pousser





Nous nous dirigeons vers la zone géothermale de Gunnuhver où nous retrouvons des roches volcaniques







Dans la zone elle même de grands jets de vapeur s’échappent du sol





et cachent par moment le phare de Reykjanes selon le bon vouloir du vent





un chemin en bois évite de marcher sur le sol qui peut être brulant par endroits





la vapeur est formée d’hydrogène sulfuré et elle laisse sur le sol des dépôts de souffre





sur toute la zone des bâtiments d’usines utilisent cette chaleur qui sort de terre







nous passons près du phare pour aller aux falaises de Valahnúkamöl





trois beaux Defender paradent sur le parking à côté d’un banal camping-car, c’est le paradoxe de l’Islande où l’on rencontre aussi bien de simples camping-cars que des 4x4 bodybuildés



le soleil est fort et la lumière très dure rendant les rochers encore plus noirs







la statue du dernier grand pingouin fixe au loin l’horizon





un peu plus loin sur la péninsule de Reykjanes nous voila au pont entre deux continents





nous sommes en plein sur la faille intercontinentale qui sépare le plateau eurasien du plateau américain et qui s'agrandit de 10 à 18 mm par an



c’est un peu plus loin sur cette faille que nous déjeunerons



À Garður il y a trois phares



le premier construit était carré; il a été ensuite remplacé par un plus grand, aujourd’hui remplacé par un plus petit rayé de rouge, plus près de la grève.
les deux anciens abritent un petit musée maritime





encore un phare, mais cette fois-ci à Sandgerði



visite des chantiers navals de Njarðvík













cette petite ville possède une église très stylée



qui jouxte des villas qui font penser aux tableaux d'Edward Hopper



sur le bord de mer comme il y a beaucoup de vent, ils ont eu l’idée de ces petites cabanes où l’on peut s’abriter derrière une grande vitre et regarder la mer



un dernier petit phare pour terminer la journée



ce soir nous irons au camping de Hafnarfjörður un peu avant Reykjavik, la capitale.

Très jolie balade dans cette péninsule, vous n'avez pas ressenti de tremblement de terre ?
Je suis agréablement surprise de constater que vous arrivez à bivouaquer !

Bonjour, ça nous plairait assez d'y aller! ça ressemble à l' Ecosse où nous avons passé 2 mois (19 Août au 25 Octobre 2019). Mais.....la météo....nous avons eu 3 jours de soleil et c'est là que le bas blesse. Pluie, humidité...cela fait de beaux paysages mais dur dur pour nous A+ JM

K_Anne_AK a écrit : dim. 23 août 2020 06:42 Très jolie balade dans cette péninsule, vous n'avez pas ressenti de tremblement de terre ?
Je suis agréablement surprise de constater que vous arrivez à bivouaquer !

Non rien ressenti si ce n'est les vibrations du véhicule dans les trous...

Pour les bivouacs, il faut quand même bien chercher pour être loin des habitations et des regards.
Mais pour cette année on a privilégié les campings. On a bivouaqué à Grindavik car le camping était surchargé et on avait pas envie de s'entasser au milieu de tous les autres.
Le lieu qu'on a choisi était assez isolé mais on a quand même eu un peu de passage dans la soirée et la matinée.