Casa Trotter

http://www.francetvinfo.fr/monde/europe ... 64733.html"

En voila des qui ne rigolent pas !!!
En principe je pars avec l'ordonnance correspondant à mon traitement habituel mais tous les autres médocs "au cas ou", aucun papier pour eux et je ne me suis (bien à tort apparemment) jamais préoccupé de savoir s'ils étaient autorisés, d'ailleurs je n'imaginais pas que ça puisse être interdit

J'ai entendu ça aussi ce matin. Mine de rien, je me demande comment il est possible de savoir quels sont les médocs autorisés ou pas dans un pays et quelles sont les éventuelles sanctions encourues. Apparemment, dans le cas présent, le consulat a "élégamment" botté en touche !

Vu dans les conseils aux voyageurs, sur le site du Ministère des Affaires étrangères, concernant la Géorgie :
Certains médicaments délivrés sur ordonnance en Europe ne sont pas autorisés à l’import en Géorgie. Ceci concerne notamment les opiacés. Il est donc fortement recommandé aux voyageurs sous traitement médical de vérifier auprès de l’ambassade de Géorgie en France avant leur départ, que les médicaments en leur possession sont autorisés en Géorgie, de se munir d’un original et de copies de leur ordonnance médicale et de déclarer l’intégralité de leurs médicaments lors du contrôle en douane à l’entrée.

Et aussi : Le taux d’alcoolémie autorisé au volant est de 0 g/l.

Pas de bol pour les 2 françaises mais ca va finir par s'arranger !

Pour l'anecdote depuis quelques années dans les pays de l'est une nouvelle drogue artisanale fait des ravages : le crocodile

Pour obtenir cette drogue on fait une réaction chimique a partir de codéine de solution iodé et d'essence pour voiture .

C'est donc logique que les douaniers traquent les 2 premiers produits

fredo44 a écrit : ...Pour obtenir cette drogue on fait une réaction chimique a partir de codéine de solution iodé et d'essence pour voiture.

Ça donne vraiment envie !

Bon, temps que le tire bouchon n'est pas considérer comme une arme de guerre....

dakure 25 a écrit :Bon, temps que le tire bouchon n'est pas considérer comme une arme de guerre....

J'ai bien un smiley adéquat, mais si je le mets, je vais me faire incendier par l'E.M !(l'état-major, pour ceux qui n'ont pas la couleur)

Jacomo32 a écrit :En voila des qui ne rigolent pas !!!
En principe je pars avec l'ordonnance correspondant à mon traitement habituel mais tous les autres médocs "au cas ou", aucun papier pour eux et je ne me suis (bien à tort apparemment) jamais préoccupé de savoir s'ils étaient autorisés, d'ailleurs je n'imaginais pas que ça puisse être interdit

Idem pour nous, nous partons avec une "petite" valise de médicaments et nous ne nous sommes jamais posé la question si ceux ci étaient autorisé dans les pays où nous nous rendions.
Guy

Thekaguy a écrit : Idem pour nous, nous partons avec une "petite" valise de médicaments et nous ne nous sommes jamais posé la question si ceux ci étaient autorisé dans les pays où nous nous rendions.

Et il semblerait bien qu'on ait tort de ne pas s'en préoccuper !
Pour l'Italie, rien de particulier dans ce domaine ??

fredo44 a écrit : Pour l'anecdote depuis quelques années dans les pays de l'est une nouvelle drogue artisanale fait des ravages : le crocodile
Pour obtenir cette drogue on fait une réaction chimique a partir de codéine de solution iodé et d'essence pour voiture .
C'est donc logique que les douaniers traquent les 2 premiers produits

Hello fredo44,
On sera donc normalement moins enquiquiné si on roule en diesel.

Jean-Pierre

Au diesel ca n'aura ni le même gout ni le même effet

dakure 25 a écrit :Bon, temps que le tire bouchon n'est pas considérer comme une arme de guerre....

Bien que... Car j''ai appris à mes dépens qu'il ne faut pas pas prendre à la légère un passage de frontière d'une ex-république soviétique. L'administration a gardé une culture de l'inquisition à ne pas mésestimer.

En passant de Roumanie en Ukraine en 2012, les douaniers ukrainiens ont trouvé un poignard dans mes ustensiles de cuisine et m'ont reproché de ne pas l'avoir déclaré dans la rubrique "armes" du document des douanes. Les conséquences de cet oubli : 9h d'immobilisation avec fouille complète, notamment des trousses à pharmacie, rédaction kafkaïenne d'un "protokol" avec interprète anglais-russe qui m'a dit que ma bonne foi m'avait valu l'indulgence des autorités. Sinon, j'aurais pu être emprisonné pour "trafic d'armes" et ne sortir qu'après l'intervention de l'Ambassade de France et contre paiement d'une caution d'environ 2000 € !

Aucun douanier, policier ou garde-frontière ne parlait anglais, à aucun moment je n'ai été sollicité explicitement pour un quelconque "bakchich".

PS: bien entendu, mon K-bar a été "confisqué".